Regard sur l’image

Accueil > Français > Techniques (images et numériques) > Extraits du Dictionnaire de la photographie numérique (épuisé) > Définitions commençant par la lettre F

Définitions commençant par la lettre FExtrait du Dictionnaire de la Photonumérique par Hervé Bernard

,  par Hervé BERNARD dit RVB

f : suivi d’une seule valeur numérique, indique le diaphragme utilisé lors d’une prise de vue, suivi de deux valeurs indique les performances du diaphragme d’une optique., c’est-à-dire sa valeur minimale et sa valeur maximale.

FAT : (File Allocation Table), table d’allocation des fichiers.

FAT32 : (File Allocation Table 32 bits), table d’allocation des fichiers sur 32 bits

Fausses couleurs : couleurs indexées.

Fer : terme typographique désignant le côté d’un texte qui forme une ligne verticale. voir aussi alignement, justification.

Feuille de style : terme de PAO, fichier lié à un document, la feuille de style contient toutes les données de mise en forme typographique (police, corps, type : normal, italique (...) interlignage, marges, taille des colonnes...). Ce terme a été ultérieurement appliqué à la création de sites internet.

FDDI : (Fiber Distributed Data Interface) ; l’interface de données distribuées sur fibre optique est une norme de transmission des données dans les réseaux de fibres optiques en boucle ou en anneau de 200 kilomètre de long. La norme FDDI II est une extension destinée aux données analogiques, vidéo ou audio.

Fichier : en informatique, ensemble de données enregistrées et rangées dans un certain ordre et conçue pour être exploitées par un programme informatique. L’organisation de ces données définies le format de fichiers. Il existe trois grandes familles de fichiers : les fichiers textes, les fichiers images et les fichiers programmes. Un fichier débute, en général par un entête (description de l’organisation physique et du type de données), les données elle-même et pour finir un caractère ou un groupe de caractères indiquant la fin du fichier.
Le format de fichier image le plus simple ne contient que les données bitmap pures. C’est à dire une suite de valeurs correspondant à la mesure du rouge, vert, bleu (pour une image en couleurs) provenant de la numérisation. Ainsi, le fichier .img ne contient que des données monochromes en 512 x 512, stocker les coordonnées des points n’est donc pas pertinent car la structure est toujours la même.
Puis viennent les fichiers à entête comme le TGA. Comme son rapport en pixel varie, celle-ci est précisée dans son en-tête et elle est située avant les données bitmap c’est-à-dire point par point, la valeur de chaque couleur exprimée avec le nombre de bits de l’image. Ces formats ne contiennent donc pas de métadonnées. Enfin, viennent les fichiers qui contiennent des métadonnées comme le Tif, le SPIFF...
Exemple de constitution d’un fichier image

 En-tête : elle précise l’organisation des points soit d’abord tous les points rouges, puis les points verts et enfin les points bleus ou encore tous les points avec leur trois valeurs rvb soit dit autrement : rrr...vvv...bbb... ou rvb et ensuite liste des tags ;

 Les données provenant de la numérisation (scanne ou prise de vue numérique) ;
 Les données associées à l’image : clés de codage, conventions ;
 Les données annexes : conditions de création (informations sur l’appareil photographique numérique -diaphragme, focale par exemple-), informations sur le matériel (type de l’appareil) et l’environnement ;
 Le fichier image : en-tête, données images, métadonnées directes et indirectes ;
 Le marqueur de fin de fichier.

Fichier de placement : en photogravure, fichier de faible définition qui sert à faire une mise en page. Au moment du flashage, il est automatiquement remplacé par un fichier d’une définition adéquate en rapport à la taille de l’image dans la mise en page.

Fiery : RIP développé par la société Electronic For Imaging et destiné à transformer un photocopieur couleur en une imprimante couleur PostScript. Il se connecte aux photocopieurs Agfa, Canon, Kodak. Ce RIP se connecte aussi à certaines imprimantes jet d’encre comme l’Epson 5000 afin d’en faire une imprimante d’épreuvage. cf Electronic for Imaging, Efi Arrazi, son fondateur.

Film : support souple sur lequel est couché une émulsion qui peut-être photosensible. Il est notamment utilisé en photographie ou au cinéma mais aussi en radiologie...

Film trait : ou film à haut-contraste, ce type de film n’est sensible qu’au noir et au blanc.

Film de sélection : en photogravure, film correspondant à l’une des couleurs d’impression, ce film sert lors de l’insolation des plaques d’impression. En 2010, l’utilisation des films de sélection est en voie de disparition car la technique des plaques directes supprime cette étape. Outre l’économie de consommables, la suppression des films de photogravure supprime une étape souvent à l’origine des pertes de détails dans les hautes et basses lumières.

Filtre : il existe deux types de filtre, les filtres optiques et les filtres logiciels. Le premier désigne des plaques de verre, de gélatine ou de plastique transparent ou semi-transparent qui servent à corriger une dominante ou à faire un effet comme les filtres Cokin.
Le deuxième désigne une fonction d’un logiciel, un filtre est destiné à corriger une image (USM, filtre de netteté, filtre de flou...) ou à créer un effet spécial (bas relief, mosaïque...).
Parfois, la différence entre un filtre de correction et un filtre de création réside plus dans la manière de l’utiliser que dans le filtre lui-même. En informatique, les filtres sont aussi utilisés pour traduire un fichier dans un autre format.

Finder : de l’anglais to find, chercher, trouver ; partie d’un logiciel ou d’un système d’exploitation qui sert à rechercher des fichiers ou des programmes. Terme plus particulièrement utilisé dans le monde Apple.

Fire : gamme d’imageurs issus du Fire 300 développées par Cymbolics Science et Polaroid. En 1999, elle était composée du Fire 850 et du Fire 1000. Basé sur un imageur photographique à laser, il est considéré comme la Rolls de ce secteur. Un Fire produit des images depuis le format 24 x 36 jusqu’au format 20 x 25 cm. Son interpolateur est particulièrement performant. Aujourd’hui, certains laboratoires parisiens emploient encore ces machines qui ne sont plus fabriquées. Elles ont cependant l’avantage de produire des films positifs couleurs ou trois films noir et blanc, un par couche rvb qui sont indépendants des techniques informatiques et qui, conservés dans de bonnes conditions, auraient une durée de vie plus longue que celle des fichiers.

Firewire ou IEEE 1394

Fits : (Fonctionnal Interpolating Transformation System) format de fichier pyramidal utilisée par le logiciel Live Picture, basé sur la notion de client-serveur et les formats algorithmiques, cette technologie a pour avantage d’être indépendante de la résolution d’une image et de permettre des liens dynamiques avec les images composantes.

Flare : reflet dans une optique, du à un défaut de conception ou à un contre-jour. Des filtres logiciels imitent ce défaut afin de rendre plus « réaliste » des photomontages ou des images de synthèse.

Flash : système d’éclairage artificiel utilisé en photographie, il produit des éclairs lumineux d’une grande intensité à une température de couleur comprise entre 5000 et 6000 K. Il existe des flash portables et des flash de studio. Les premiers utilisent des piles ou une batterie tandis que les seconds se branchent sur le secteur. Pour ces derniers, le même générateur peut fonctionner avec plusieurs torches.

FlashCard : carte servant à ajouter une ou (des) fonctionnalités à un ordinateur ou à un périphérique. D’une dimension inférieure à celle des cartes PCMCIA, ces cartes sont, elles aussi amovibles. Par contre, elles sont essentiellement utilisée, pour l’instant, comme mémoire.

Flashage : terme de photogravure, désigne la procédure d’insolation d’un film trait pour produire les films de sélection de couleur qui serviront à produire les plaques d’impression. Improprement utilisé pour la production d’originaux photographiques de deuxième génération.

Flasher : en photogravure, c’est exposer des films (ou des bromures) à la lumière d’un rayon laser, en suivant des instructions numériques transmises par un micro-ordinateur afin de produire des films de sélection de couleur qui serviront à la fabrication des plaques d’impression. A ne surtout pas utiliser en anglais car un « flasher » est un exhibitionniste.

Flasheuse : machine produisant les films de sélection de couleur, elle utilise pour cela un faisceau laser qui sert à reproduire les points de trame sur le film photographique ou sur les plaques directes. En anglais, plotter.

FlashPix : format de fichier à l’architecture pyramidale créé au début de l’année 1996 par Kodak, Microsoft, Live Picture Inc et HP rejoint ultérieurement par : Canon, Fuji, Adobe, IBM et Intel pour créer le DIG créé pour l’Internet et l’édition. Ce format s’inscrit dans l’espace couleur RVB -désigné par le terme NIFRGB-ou YCC commun à celui du CD-Photo ou encore un espace couleur monochrome calibré et une version non calibrée des trois espaces cités précédemment. Alliant des informations d’entête comme le TIFF et le format pyramidal tuilé en provenance de Live-Picture et de la société Netimage (deux technologies françaises), actuellement, le format FlashPix contient des données RVB ou YCC. Dans un premier temps, Kodak souhaitait qu’il ne soit compatible qu’avec l’espace YCC. Cependant, devant l’insistance de certains partenaires le RVB a été intégré. Outre la compatibilité avec le CD-Photo, pour Kodak l’espace YCC permet une meilleure numérisation des données du film notamment dans les hautes lumières. En effet, dans l’espace Cie-Lab, la valeur 100 correspondant au blanc ne permet pas de rendre tous les détails des brillances comme celle d’un chrome. Par ailleurs, l’intérêt de ce format est de ne jamais appliquer les corrections de couleur sur le fichier source puisqu’elles sont enregistrées dans le fichier est seulement appliquée à l’impression. Ceci a pour avantage de réduire l’effet de génération au maximum. De plus, ce nouveau format bénéficie de capacités de liens entre les fichiers inspirées de la technologie OLE II de Microsoft. Ce qui permet d’utiliser dans un traitement de texte le fichier basse définition tout en étant certain que lors de l’impression, le fichier du poids nécessaire à une bonne impression au format demandé sera sélectionné. Cette fonction explique que les corrections comme le contraste, le changement d’un cadrage ou une rotation ne sont pas appliquées mais, seulement, enregistrées dans les données associées à l’intérieur du fichier. Il est donc possible de travailler à distance sur un fichier sans avoir à transférer toutes les données. Cependant, en juillet 1998, on n’a toujours pas pu avoir de démonstrations de ces fonctionnalités. Ainsi, un amateur pourrait faire ses corrections et les transmettre à un laboratoire qui imprimerait le document en grand-format pour lui expédier par coursier ou par courrier le document final. Ce format est aussi compatible avec Java et l’architectures des plug-in de Navigator, le logiciel de Netscape.
Quant aux fonctions pyramidales, elles sont différentes de celle de Live-Picture car la taille des tuiles (64 pixels de côté) est optimisée pour accélérer l’enregistrement des fichiers sur le disque dur et la transmission sur le réseau. La compression des données, au format JPEG pour les documents couleurs, est facultative. Mais, selon Kodak, un fichier 24 bits non compressé prend 30% de plus d’espace disque que lorsqu’il est brut, en raison de la présence de multiples formats aux résolutions inférieures. Enfin, ce format contient un en-tête pour des commentaires comme le nom de l’auteur, il est cependant dommage que Kodak n’est pas repris les travaux de la commission JPEG dans ce domaine. En résumé, l’architecture de ce format est la suivante : image source, paramètres de visualisation, image résultante, imagettes, liens avec d’autres fichiers, extensions.

Flexographie : technique d’impression

Flou : en photographie, terme qui caractérise un sujet difficile à discerner. Une image peut-être entièrement ou partiellement floue. Ce phénomène est du à une mise au point faite sur une autre partie de l’image, à une vitesse du sujet trop rapide par rapport à la vitesse d’exposition ou encore à un bougé du photographe lors de la prise de vue. Certains filtres dans les logiciels graphiques imitent ce phénomène.

Flou gaussien : type de filtre de flou utilisé dans les logiciels de photomontage.

Fluorescent (tube) : source lumineuse dont le spectre est en dent de scie. Généralement, pour l’œil humain, il produit une lumière de type lumière du jour par contre pour un film photographique, en raison de leur spectre, ils ont toujours une légère dominante, le plus souvent dans les verts mais parfois aussi dans les bleus en fonction du ou des gaz utilisés. De plus, toujours d’un point de vue photo, ces sources ont pour inconvénient de produire un éclairage très difficile à maîtriser en raison de leur taille qui rend leur focalisation quasiment impossible.

Fluorescente (couleur) : couleur fluorescente.

Focale : terme d’optique. Il existe des optiques à courte focale (grand-angle), des longues focales (téléobjectif), des focales standards (correspondant plus ou moins à la vision humaine) et des focales variables (zoom). Voir aussi : - Focale, argentique-numérique : quelles différences ?

Fogra (barre) : barre témoin imprimée sur l’un des bords d’un document imprimé. Elle est destiné à témoigner du bon réglage du système d’impression (offset, jet d’encre...).

Folder : dossier, type de fichier informatique où sont rangés d’autres fichiers exécutables ou non. Voir aussi format de fichier quelques lignes plus bas.

Fond perdu : terme d’imprimerie, une image ou une page sont imprimés à fond perdu quand elles n’ont pas de bord tournant de la couleur du papier. Elle est dite à fond perdu parce que sa surface dépasse le format utile afin d’éviter une lisière blanche en cas de léger décalage lors de la découpe du document imprimé.

Fonte : en typographie, ensemble complet (minuscule, capitale, chiffre, ponctuation, symboles...) des caractères d’une police. Ce terme provient de l’époque des caractères typographiques en plomb. Il fallait donc fondre ce métal pour les fabriquer.

Format de fichier : structure d’un fichier qui va déterminer son contenu et les logiciels qui pourront l’utiliser. Cette structure est précisée dans la deuxième partie de son nom. Appelée extension, elle renvoie à des fichiers programmes (.exe), des fichiers textes (.doc), des fichiers bitmap (.tga ; .bmp).

Format à la française : format d’impression vertical, aussi appelé portrait.

Format à l’italienne : format d’impression horizontal, aussi appelé paysage.

Fourier : transformé de Fourier.

Fovéa : partie de la rétine constituée de cônes et située près du centre de l’œil. Elle est sensible aux fins détails de l’environnement visuel.

Fractal : structure d’un objet dont les parties ont presque la même forme que le tout à une différence d’échelle près. Bien souvent leur forme est soit très régulière ou au contraire extrêmement irrégulière. Cette structure a été découverte en 1975 par le mathématicien français Benoit Mandelbrot. Certaines feuilles d’arbres, les choux-fleurs sont des exemples de structure fractale. L’analyse des formes peut s’exprimer par une modélisation fractale du contenu, pour une image par exemple. Il existe plusieurs tentatives d’utilisation de cette forme de modélisation sous forme d’algorithme de compression mais la complexité des calculs nécessaires n’ont pas permis une standardisation du procédé.

Fragmenté : en informatique, se dit d’un disque dont les fichiers sont enregistrées de manière discontinue. Ceci implique que des parties d’un même fichier sont situées sur des emplacements très distants d’un même disque dur. Ainsi, le début du fichier peut se trouver à la fin du disque, la fin au début du disque et le milieu de ce fichier placé à différents endroits de ce même disque. La fragmentation ralentit la lecture et risque de provoquer des pertes de données.

Fréquence de balayage : en électronique, périodicité à laquelle les données d’une image sont rafraîchies à l’écran. La fréquence de balayage est composée de la fréquence horizontale et de la fréquence verticale. La première désigne le nombre de ligne horizontal tracé par le faisceau d’électrons du tube. Tandis que la fréquence de balayage vertical précise le nombre de fois que le faisceau d’électrons parcoure l’écran de haute en bas. Échantillonnage

Fréquence de trame : dans une image à tons continus imprimée, nombre de rangées de points contenues dans un intervalle donné généralement exprimé en ligne par pouce.

FTP : (File Transport Protocol) ou protocole de transfert de fichiers entre deux machines raccordées par un réseau.

Fuji : fabriquant japonais de films, de papiers photographiques, d’appareils photos argentiques, numériques, de cassettes vidéos, d’imprimantes numériques, de films pour la photogravure et de matériel de photogravure ainsi que de supports de sauvegarde informatique... Dans le domaine de la photographie traditionnelle, il est devenu le grand concurrent de Kodak.
Historique
20 Janvier 1934 : création de Fuji Film Photo Co par la société Dainippon Celluloid Co Ltd après 15 ans de recherches dans le domaine de la photographie et la production de la première émulsion cinématographique positive en 1932.
1934 Production d’un film dédié au marché de la photogravure
1935 Entrée de Fuji dans ce qui sera le marché de la reprographie avec le « Photo-Copying Bromide Paper »
1936 Lancement du film Fuji Chrome
1948 Lancement de l’appareil photo 6x6 Fujica Six
1948 Lancement du Fujicolor Reversal, d’une sensibilité de 10 ISO
1952 Lancement du Fuji Neopan SS, d’une sensibilité de 100 ISO
1954 Début de la production de film cinéma positif sur un support à base de triacétate
Lancement de l’objectif Fujinon 50 mm f/1.2 et du Fujinon 35 mm f/2
Sortie de l’appareil Fujicaflex Automat, ouverture f/2,8
1957 Fujica 35M, premier appareil 24 x 36 mm Fuji
1958 Lancement du FujiColor Negative Film, d’une sensibilité de 32 ISO
Annonce d’un film cinéma grain fin étudié pour la projection sur grand écran
1959 Lancement d’un film noir et blanc 16 mm étudié pour la télévision
1961 Sortie du copieur Quickcopy
1965 Production d’un film 8 mm pour le cinéma amateur.
1966 Introduction de la nouvelle pellicule Fujicolor R100
1967 Sortie du Fujica Compact 35
1970 Fujica ST701, premier réflex à cellule silicium
Première développeuse automatique pour le marché des arts graphiques
1971 Lancement du Fujilith Ortho Film Type V
1972 Fujica ST801, premier réflex utilisant des diodes pour l’affichage dans le viseur
1976 Fujicolor F-II 400 ISO premier film couleur haute sensibilité
1979 premier compact tout temps, tout terrain
1983 Fujicolor HR 100, 200 et 400, premiers films couleurs avec cristaux d’argent à double structure
1984 Fujicolor HR1600, premier négatif couleur d’une sensibilité de 1600 ISO
1986 Fuji GX680, premier moyen-format motorisé doté d’une bascule
1988 FUJIX DS-1P, premier appareil photo numérique doté d’une carte à mémoire
1992 Pictrostat, premier copieur couleur qualité photo en une minute
SFA250/270 et 290, premiers minilabs avec écran vidéo pour le contrôle des couleurs
1993 première imprimante utilisant la technique Pictrography
1994 FUJIX DS505/515, premier réflex numérique à visée intégrale dans le viseur développé en collaboration avec Nikon.
1995 : GA 645 Autofocus, premier moyen-format autofocus.
Novembre 1995 : Fuji France lance Idris
1996 Frontier, premier minilab numérique
1997 introduction des papiers et films Fuji pour imprimante à jet d’encre
1997 appareil numérique Fuji DS-7, doté d’un CCD, sa définition est équivalente au VGA et elle utilise les cartes SmartMedia.
Fuji DS300, première caméra de cette gamme de prix dotée d’un capteur d’1,3 million de pixels
Fujilabnet, premier offre de services via Internet

Fujichrome : gamme de film positif fabriquée par Fuji.