Lab : Cie-Lab.
Laize : largeur maximum du support utilisé lors d’une impression, d’un tirage ou d’une sortie film par la machine de production (presse, tireuse, imprimante, développeuse...).
Lamination (anglicisme) : action de coller un film plastique sur un tirage (photographique ou d’imprimante) afin de le protéger des UV comme du frottement.
LAN : (Local Aera Network) réseau local de transfert de données.
Land Edwin : inventeur du film Polaroid et fondateur de la société portant ce nom. Il a notamment fait d’important travaux sur la polarisation et sur la théorie des couleurs. Ces travaux sont réunis sous le terme de Rétinex.
Laser : source lumineuse dont le spectre est décrit par une ligne verticale. Cette source correspond donc à la lumière la plus saturée.
Laser : technique d’impression monochrome ou couleur utilisée par les imprimantes d’ordinateur, les photocopieurs et les presses numériques. Impression laser.
Lasso : fonction de sélection d’une partie d’une image dans les logiciels de photoretouche. Il existe deux types de lasso, le lasso à main levée et le lasso géométrique. Ce dernier est composé d’une suite de droite.
LAT : (Laser Ablation Transfer), technologie de transfert par laser développé par Polaroid et Rexam pour le PolaProof présentée pour la première fois lors de la Drupa 95 et commercialisée depuis 1998 et jusqu’à la faillitte de Polaroid. Comme tous les systèmes à transfert, le LAT utilise deux papiers, un donneur et un receveur. Ici, sous l’effet de l’échauffement produit par l’énergie infrarouge du laser, l’encre pigmentée est transférée du donneur vers le receveur en micro-salves garantissant un transfert rapide sur le récepteur tout en respectant la structure du point de trame.
Layer : terme anglais traduit par calque ou couche.
LCD : (Liquid Cristal Display) ou écran à cristaux liquides, technologie utilisée pour la fabrication des écrans plats. Cette technique est basée sur la polarisation de la lumière par les cristaux liquides. Ces écrans sont composés de deux plaques de verre. L’une polarise la lumière de la source lumineuse tandis que l’autre -dont l’axe de polarisation est perpendiculaire au premier- emprisonne des cristaux liquides orientés selon un axe préférentiel. Ces cristaux, lorsqu’ils sont soumis à un courant électrique, se tordent et font tourner les rayons qui les traversent. Une intensité maximale entraîne une torsion de 90° tandis qu’un courant plus faible dévie moins les cristaux et dans ce cas, seule une partie de la lumière initiale traverse la seconde vitre. C’est en associant à chaque pixel trois cristaux rouge, vert, bleu et en contrôlant l’intensité du courant électrique que l’on obtient les couleurs. Les LCD sont basés sur deux technologies, les matrices actives et les matrices passives.
Leaf : société américaine fondée par Bob Caspe en 1985, filiale de Scitex depuis 1992 rachetée par Kodak lors de la fermeture de Scitex, spécialisée dans la fabrication des scanneurs (Leaf 35 et Leaf 45) et d’appareils photos numériques (Catchlight, Leaf Camera Back et Lumina). Cette société reste l’un des leaders technologiques du marché de la photo numérique. Son produit phare a été lancé pour la première fois aux États-Unis lors du Siggraph 92. En 1996, son président, Bob Caspe a quitté cette société pour fonder SoundVision Inc. une nouvelle société destinée à fabriquer des appareils photos numériques grand-public basé sur la technologie Cmos.
Leaf Camera Back ou DCB : dos numérique, interchangeable, il est construit autour d’un capteur CCD fabriqué par Loral Aerospace (racheté par Fairchild en 1996) sur des spécifications Leaf. Un dos conçu pour un modèle ne peut-être monté sur un autre appareil pour des questions mécaniques (systèmes de fixation) et optique (problème de distance focale). Toutefois, Leaf commercialise un adaptateur qui permet d’employer le modèle destiné à une chambre sur l’un des moyen-formats. Chaque adaptateur est dédié à une marque d’appareil moyen-format. En raison de la taille de son capteur, 3,07 cm x 3,07 cm, la focale des objectifs de ces différents appareils est modifiée. Ainsi, pour les optiques de l’Hasselblad, il faut leur affecter un coefficient réducteur de 2, pour le Mamiya, ce coefficient est de 2,17. Enfin, pour une chambre 4x5, ce coefficient est de 3,77.
Caractéristiques de son CCD : définition de 2048 x 2048 pixels, échantillonnés à 14 bits soit plus de 16 384 nuances par couleurs primaires ou encore 9 à 10 diaphragmes. Sa sensibilité est équivalente à ISO 200 pour le noir et blanc et ISO 25 pour la couleur. Cette différence s’explique par la densité des filtres (Kodak Wratten rouge 25, vert 58 et bleu 47) utilisés lors d’une prise de vue couleur (trois passes, une par couleur primaire) et équilibrés pour la lumière du flash. Afin de compenser la différence de densité entre les filtres et la moindre sensibilté du CCD au bleu, le filtre rouge et le filtre bleu sont assemblés avec un gris neutre. Sa sensibilité nominale peut-être poussée comme sur un film argentique. Cette opération augmente le bruit et diminue la dynamique comme sur un film classique. La règle de calcul est simple, pour un diaphragme gagné on perd un bit par couleur primaire. Ainsi, pour une photo prise en noir et blanc à ISO 400, on n’a plus que 13 bits de dynamique et à ISO 800, plus que 12 bits ce qui se traduit par une perte de nuances dans les ombres.
Si l’image obtenu n’est pas interpolée, on peut imprimer un document de 17,27 x 17,27 cm avec une trame 150. D’après ce que nous avons pu voir, une image imprimée en 38 cm x 38 cm, en trame 200 (interpolation de 300%) donne un très bon résultat. Il en est de même pour une interpolation à 5000 x 5000 pour une sortie sur ekta avec un Fire 1000. Le CCD du Leaf Camera Back donne le meilleur résultat à des vitesses rapides, ce qui est logique car plus le temps de pause est bref moins le courant de noir dispose de temps pour parasiter l’information. Chaque pixel d’un CCD à une sensibilité différente à la lumière, ce phénomène est appelé « non uniformité d’un pixel à un autre ». Pour compenser cet écart, le logiciel du Leaf utilise, de cinq à sept fichiers de correction de gain. Ces fichiers contiennent les informations sur le taux de réponse de chaque micro-cuvettes en fonction du temps de pause. Ces renseignements sont automatiquement employés pour ajuster le gain de chaque pixel et ainsi compenser leurs différences.
Le Leaf Camera Back dispose d’un fichier de correction du blooming dédié à chaque CCD. Chaque prise de vue est stockée soit, sur 14 bits au format TIFF-HDR, un format qui ne peut être lu que par le logiciel Leaf DSC 2K soit, au format PhotoShop. Ce logiciel assure aussi la conversion du fichier de 14 bits à 8 bits. Avant de convertir l’image, il est possible, par l’intermédiaire d’une courbe, de paramètrer le passage de 14 à 8 bits afin de tirer le meilleur parti possible de l’image en 14 bits en jouant sur son contraste et sa tonalité.
Leaf Catchlight : lancé lors de la Photokina 94, cet appareil photo numérique une passe d’une définition de 2048 x 2048 est fabriqué par Leaf. Doté du même capteur que le DCBII, il numérise une scène en RVB plus une quatrième couleur, le teal. Cette dernière couleur est identique à celle du vert du nouveau logo de la RATP.
Lecteur : en informatique, désigne un périphérique capable d’ouvrir un type précis ou une famille de mémoire de masse.
LED : (Light Emitting Diode) ou diode émettrice de lumière, technique d’affichage notamment utilisée sur les caisses enregistreuses. Composant électronique émetteur de lumière. Cette technique sert aussi à la fabrication d’écran plat pour les ordinateurs, pour les appareils photos.
Lettrine : en typographie, première lettre d’un paragraphe, elle emploie un corps beaucoup plus important (d’une hauteur d’un minimum de deux lignes du paragraphe) que celui du reste du texte.
Lézarde : en typographie, effet graphique involontaire provoqué par une succession d’espace les uns en dessous des autres dans un texte ou un paragraphe. Son effet graphique n’est pas sans rappeler celui d’une lézarde sur un mur. Une lézarde nuit à la lisibilité d’un texte en provoquant un effet disgracieux qui perturbe l’oeil dans le suivit des lignes de texte.
L-Graph. : technique photosensible présentée en 1995 par Dainippon Screen. Sa résolution atteignait 20 millions de pixels pour un 24x36, soit une définition équivalente à celle du film photographique. Basée sur une substance organique photosensible et un cristal liquide polymère qui enregistrent l’information sur un support de verre et implantée sur un appareil dédié, le support était ensuite scannée par un scanneur lui-aussi dédié. Selon Dainippon Screen, cette technologie devait être disponible pour le dernier trimestre (95). Dans le futur, un système intégrant l’appareil et le scanneur devait être proposé. Les plaques sont réutilisables. Finalement, cette technologie n’a jamais vue le jour.
Lm : abréviation de Lumen.
Linéaire : en mathématique, équation dont la variation est représentée par une droite ; en électronique, phénomène dont les grandeurs varient en demeurant proportionnelles.
Linéarisation : en photogravure, linéariser une image, c’est faire entrer toutes ses valeurs dans la courbe de contraste d’un support. Et la question « Comment faire entrer un éléphant dans une 2 CV ? » illustre assez bien cette problématique. Surtout si l’on sait que la réponse est d’en mette deux devant et deux derrière. En effet, il s’agit de faire entrer une plus large échelle de densité (0,2 à 2,5 pour un opaque ; 0,2 à 3,5 pour un transparent) dans une plus petite échelle de densité (0,2 à 1,8 pour un document imprimé) tout en ne perdant pas de nuances. Pour cela, la solution est de tordre la courbe, le résultat correspond donc à tout sauf à une courbe linéaire. Ce terme est donc employé à contresens. En fait, on devrait plutôt parler « d’harmonisation de la progression des tons » pour reprendre une expression d’Olivier Fleurance.
Linéature de trame : terme de photogravure, définit le nombre de lignes par pouce d’une trame d’impression.
Linotype-Hell : société spécialisée dans le matériel de photocomposition et de photogravure, elle est aussi la conceptrice de ColorSync 2.0. Issue de la fusion des sociétés Linotype et Hell, cette société à une longue tradition d’innovation avec la première composeuse au plomb, cette machine supprimait la manipulation des caractères un par un en les remplaçant par des lignes fondues d’un seul bloc. Vient ensuite l’invention du premier scanneur en 1965 chez Hell, des trames à angles irrationnelles dans les années 70, toujours chez Hell, puis ColorSync 2.0 chez Linotype-Hell. A travers son rachat par Heidelberg, un des leaders mondiaux dans le domaine de la presse d’imprimerie qui produit aussi des presses offset dotées d’une technologie direct to plate, c’est le prolongement de cette tradition.
Historique
1886 Fondation de Linotype (Line of Types) par M Mergenthaler
1929 Fondation de Hell par Hell Writer
1965 Invention du scanneur avec le système Cromagraph « Linocolor » par le Dr Hell
1968 Flasheuse
1970-1975 dépôt par le Dr Hell d’un brevet sur les trames à angles irrationnelles.
1985 Rip PostScript
1990 Fusion des deux sociétés
1995 Linocolor Lite et intégration de la CMM Linotype dans Mac OS avec ColorSync, arrivée des scanneurs Saphir et Opal
1996 ScanOpen ICC, ViewOpen ICC, PrintOpen ICC
1997 Intégration de la CMM Linotype dans ICM2.0
fin 98 Scanneurs Opal Ultra et Jade2
1998 Rachat de Linotype-Hell par Heidelberg pour devenir Heidelberg Color Publishing
Linux : système d’exploitation gratuit et multiplateformes disponible sur Internet.
LinoColor : logiciel de numérisation développé par Linotype-Hell qui a intégré dès le début sa propore CMM, celle-ci est a été intégrée dans ColorSync qui repose sur un codage de la couleur dérivé du Cie-Lab, le CIE-LCh. Ce logiciel prend en charge la numérisation, la séparation des couleurs, les corrections de couleur, la création de masque ou encore le filtre de netteté (USM). Il dispose de LUT pour un certain nombre de scanneurs et d’écrans et il sert à calibrer, automatiquement, le système sur le site pour ce qui est du flashage car la chimie, le film (...) ne sont jamais identiques d’un prestataire à l’autre. En fait, LinoColor commence par prendre le fichier RVB fourni par le scanneur et à le transformer en un fichier Cie-Lab pour les calculs ultérieurs. Pour l’affichage à l’écran, le fichier est de nouveau transformé en des données RVB mais tous les calculs (filtres, conversion...) sont cependant réalisés sur les données Cie-Lab. Bien entendu, pour le flashage, le fichier Cie-Lab est de nouveau transformé en des données CMJN.
Linocolor ne permet pas de créer des profils pour des produits concurrents. La force de Linocolor réside dans sa capacité de faire des corrections de teinte et de saturation sur des images en basse résolution permettant ainsi un travail très rapide, un enrichissement de l’image finale par les corrections de couleur effectuées en basse résolution tout en évitant un appauvrissement de l’image haute résolution finale et d’appliquer ces corrections en une seule opération éventuellement à la volée sur les informations du scanne. En plus de fonctions de calibration, Linocolor apporte les avantages d’un véritable système de gestion de la couleur puisque les données RVB acquises par le scanneur sont converties en Cie-Lab. L’affichage en RVB à l’écran se fait donc en RVB virtuel en fonction de ses caractéristiques et cela sans toucher aux données sources qui restent intactes. Ce programme fonctionne de manière autonome ou comme un plug-in PhotoShop. En ce qui concerne le programme EderMCS de Linotype, il gère la séparation en sept couleurs il répond donc à certaines fonctionnalités de la gestion de la couleur même si son objectif est de produire cette séparation.
Lissage : en numérique, fonction de calcul automatique d’une couleur « moyenne » entre la couleur d’un trait et celle du fond. Cette fonction a pour but de supprimer l’effet d’escalier ou crénelage sur un trait oblique. Son utilisation entraîne une plus ou moins grande perte de définition d’un dessin.
Litho (sens) : terme utilisé en photogravure pour demander un flashage des films émulsion vers le haut.
Live Picture : logiciel en mode points pour la retouche et le photomontage, la première particularité de Live Picture est d’avoir introduit la notion de résolution indépendante dans le monde de l’image pixel. Il est donc possible de faire un parallèle entre son format de fichier et la technique PostScript pour l’image vectorielle. Toutes les manipulations afférentes au montage sont stockées dans le fichier Fits, tandis que chaque image du montage est stockée au format IVUE. Quatre fichiers composent un photomontage de trois images et ils se répartissent ainsi : trois fichiers IVUE et un fichier Fits.
L’autre intérêt de la résolution indépendante est la validation post-processing. Elle permet de sortir des petits fichiers pour l’impression intermédiaire sur une imprimante. On évite ainsi de monopoliser l’imprimante et donc l’ordinateur pendant des calculs sur des fichiers surdimensionnés pour une simple épreuve de contrôle qui se contenterait d’un fichier de 10 ou 20 Mo.
Localtalk : réseau local Apple qui peut se connecter avec des PC.
Longueur d’onde : unité de mesure qui représente la distance de déplacement d’une onde pendant une seconde. Elle est liée à sa fréquence et à son support puisqu’elle se calcule en divisant la vitesse de propagation d’un signal par sa fréquence. Ainsi, la vitesse de la lumière dans l’air est d’approximativement 300 000 kilomètres seconde. C’est sa variation en fonction du support qui explique que la vitesse du son n’est pas la même dans l’eau et dans l’air.
Look up Table : table de couleurs.
Loral : fabriquant de CCD, principal fournisseur du marché photographique en capteur d’une définition de 2048 x 2048 pixels, racheté par Fairschild en 1996.
Lossless : compression sans perte.
LPP : (Ligne Par Pouce), unité de mesure du nombre de lignes d’une trame d’impression ou d’un film photographique.
Lumen : unité de mesure du flux lumineux, abréviation lm.
Lumière : sensation provoquée par l’arrivée sur la rétine de certains rayonnement photonique. La longueur de ce rayonnement visible par l’oeil humain est de 390 à 770 nanomètres. Par extension, ce terme désigne en photographie et au cinéma le réglage de la lumière mis en place pour créer une atmosphère.
Lumière du jour : en photographie ou au cinéma, type de film équilibré pour la lumière du jour ou éclairage dont le spectre reproduit d’un point de vue photographique, le spectre de la lumière du jour. Par conséquent, une photo éclairée avec ce type de lumière aura les mêmes dominantes que si elle était prise à l’extérieur dans le milieu de la journée.
Lumière mixte : en photographie ou au cinéma, désigne un éclairage composé de lumière de différentes température de couleurs.
Lumière tungstène : en photographie ou au cinéma, type de film équilibré pour donner la sensation d’une photo prise en lumière du jour (la couche du bleu est plus sensible que les autres) à condition d’utiliser un éclairage tungstène dont la température de couleur est comprise entre 3200 et 3400 K.
Luminance : désigne en physique la quantité de lumière par unité de surface, elle se mesure en candela/m². Dans les logiciels graphiques, ce terme désigne la brillance d’une couleur. Plus elle est lumineuse, plus elle contient du blanc.
Luminophore : phosphore.
Luminosité : ce terme définit l’intensité du rayonnement émis. En numérique, la luminosité désigne l’augmentation de l’intensité de chaque pixel de l’image. Ainsi, lorsque l’on augmente la luminosité d’une image de 10 %, chaque pixel est éclairci de 10 %. Par conséquent le noir devient gris et et les tons clairs s’éclaircissent.
Si ce terme décrit le rayonnement réfléchi, on parle alors de clarté.
LUT : abréviation de Look Up Table, soit en français table de couleur.
Lux : unité de mesure de l’éclairement, abréviation lx.
lx : abréviation de Lux.
.LW (Scitex) : format développé par Scitex parallèlement au CT mais dédié aux images traits. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il s’agit aussi d’un format bitmap. Cependant, à la différence du CT, il emploie une compression RLE.
LZW : méthode de compression d’un fichier non destructive basée sur l’algorithme LZ77. Cette méthode correspond à une amélioration du LZ77 développée en 1984 par Welch. L’apport essentiel de ce dernier est la construction dynamique du dictionnaire en 12 bits qui permet de faire l’ensemble des opérations en un seul passage alors que le LZ77 comme le code d’Huffman nécessite deux passages. Propriété d’Unisys, son utilisation est soumise à des droits acquittés par les développeurs.
LZ77 : méthode de compression de fichiers non destructive basée sur un dictionnaire et sur le code d’Huffman amélioré. Elle est mise au point par Abraham Lempel et Jacob Ziv en 1977. Un des intérêts de cet algorithme est d’être gratuit.