Si l’image, comme l’affirme Eisenstein, « serait une série d’éléments qui s’ordonnent dans le temps pour le cinéma ou se juxtapose pour l’image fixe. » peut-on dire que le spectateur d’une image fixe est le monteur, au sens cinématographique, de cette image. Le mouvement continuel de son œil qui parcourt construisant les plans disponible sur sa table de montage.
Simultanément, ce réalisateur affirme que le montage est « une pensée qui naît du choc de deux morceaux indépendants de l’autre. » Qu’en est-il de ce choc dans le cas d’une image fixe ?
- Image fixe - Image animée (1) V2