« En effet, le ciseau est devenu le pinceau fabuleux de Mani [1]
Peignant une myriade d’images sur l’eau du marbre.
[…]
L’artiste a inséré des pierres dans les pierres,
De manière aussi audacieuse et précise que la tache sombre dans le cœur de la tulipe.
Les images sont devenus manifestes dans chaque pierre ;
Regarde le jardin dans le miroir—
Ils ont incrusté des fleurs de pierre dans le marbre,
Qui surpasse les couleurs si ce n’est le parfum de la réalité.
Ces fleurs rouges et jaunes qui dissipent le chagrin du cœur
Sont en réalité de la cornaline et de l’ambre.
Non pas des fleurs, elles sont plutôt les joues fraîches des houris [2],
Ou des gouttes de rosée gravées sur du cristal. [3] »