« La douceur est l’occasion d’une fête sensible. Le tact et le tactile, le toucher, le goût, les parfums, les sons en ouvrent l’accéda. Si elle peut inclure de la violence dans la fragilité, être belle, erotique, entrer dans une danse sacrée avec le corps de l’autre, désiré, elle n’est pas sans secret. C’est à dire sans liberté jusqu’au dernier instant. »
Anne Dufourmantelle -